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" Les jeunes artistes ont un flair redoutable pour repérer les histoires à bout de souffle ", écrit le critique d'art Brian O'Doherty en 1976. Dans le courant des années 1970, les images en mouvement prêtent main forte à un affranchissement : forger une alternative aux ambitions théoriques et politiques dominantes. Gordon Matta-Clark, James Benning et Chris Marker : trois manières de mettre en œuvre, par le film, une pratique de l'évidement, du négatif, qui veille sur les objets déchus mais précieux. Le support filmique devient, entre leurs mains, la matière d'une expérience critique décisive. Gagnées à cette énergie, dans leur sillage, des œuvres contemporaines prolongent ce mouvement engagé depuis les marges. Les films de Tacita Dean, Matthew Buckingham, Clemens von Wedemeyer, Mike Kelley, Gerard Byrne et Jeremy Deller refusent l'embaumement, le confort, la maîtrise. Ils s'installent au contraire dans un échange dense et risqué avec les réalités dont ils décident de se saisir. Chercheurs d'or, les artistes travaillent à extraire, d'une matière trop lisse, les pépites qui résistent à une vision linéaire de l'histoire.
Cinéma --- Art et cinéma --- Esthétique --- Esthétique. --- Art et cinéma.
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Une étude sur le documentariste belge, auteur de plus de soixante films, qui a réalisé des essais documentaires d'avant-garde sur sa ville natale, Ostende, des films militants et des oeuvres cinématographiques sur l'art, notamment sur les peintres ostendais comme Ensor, Spilliaert et Permeke. ©Electre 2024
Art et cinéma --- Peintres --- Storck, Henri --- Art
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Spécialiste des questions liées à la phénoménologie et à l'esthétique, P. Rodrigo interroge l'image comme créatrice de sens en prenant l'exemple du cinéma qu'il présente comme un art de la mobilité du sens et de son intensification. La spécificité du cinéma résiderait dans l'art du montage conférant ainsi au réel une amplitude nouvelle. ©Electre 2017 L’image peut-elle créer du sens ? Pour répondre à cette question le cinéma est un auxiliaire précieux, lui qui recueille, en le transformant, l’héritage formel et stylistique des arts qui l’ont précédé, y compris celui des arts voués aux seules formes statiques. L’idée directrice du parcours proposé ici est que le cinéma est, bien davantage que l’art des images mobiles, un art de la mobilité du sens et de son intensification parce qu’il est art du montage. C’est sa spécificité. La reconnaître ne conduit pas, loin s’en faut, à oblitérer la seconde composante de l’esthétique et de la logique cinématographiques : la composition du plan, le cadrage.L’analyse des possibilités expressives propres au cinéma contraint à poser autrement les questions philosophiques sur l’image, l’être et le mouvement. Une autre pensée de l’image se précise alors : l’image libérée du poids du modèle immuable et créatrice de sens en raison de sa mobilité propre ; l’image ouverte au sens parce que fragmentaire, et fragmentaire parce que prise dans une série intensive qui la transforme par le biais du montage ; l’image, pour tout dire, qui, étant toujours en appel de sens, nous force à percevoir les êtres et les choses dans toute leur épaisseur d’être, donc dans leur profondeur-de-monde. C’est par là que le cinéma donne une nouvelle amplitude à ce que nous nommons le « réel ».
Philosophie et cinéma. --- Art et cinéma. --- Relations entre les arts.
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